Entre humour noir et magie blanche, Sarah Mikovski dessine un arc-en-ciel sur la
banquise. De la classique Maîtrise de la Loire au jazzeux Conservatoire de Lyon en passant par le trip-hop et le gospel, elle a tracé son destin en enchaînant trois EP et plus de cent concerts en trois ans, dont les premières parties de Clarika, Pauline Croze, et Sanseverino.
Sarah Mikovski est une touche-à-tout, la musique est un jardin dans lequel elle se promène depuis l’enfance puisant au gré de ses envies dans la variété des genres. C’est cette liberté, cette diversité des styles qui donne à sa musique une fraîcheur surprenante et addictive. Dans ses textes, on retrouve l’extrême sensibilité de son auteur, qui sait nous faire rire avec esprit, nous surprendre avec extravagance et nous émouvoir avec invention. Une poésie qui vise juste au-dessus du coeur, respire le vécu, et nous emmène avec elle dans de belles chansons.
A l’éternelle recherche de son temps éperdu, sa plume solaire se pose au Pôle Nord. Un premier album, auquel Ivan Callot apporte sa touche de réalisateur, passant par son filtre un kaléidoscope mordoré composé de chansons pop, de slam, de soul, d’électro.
Le résultat est un disque polychrome.
Bleu comme les notes qui mêlent la douleur des Cicatrices, à la joie de Faire l’amour sur une Pente douce électro-brésilienne. Bleu comme le blues nostalgique des Gars de mon quartier.
Un Pôle Nord blanc comme les sunlights qui déhanchent Sur la route des comètes, comme les nuages qui s’accumulent au-dessus de cette Championne des tristes temps modernes.
Blanc comme Mon mec d’extrême droite pince-sans-rire, blanc comme les touches d’un piano. Jaune enfin, comme chaque pépite de ce disque lumineux qu’en Alchimiste du contraste et de l’accord, Sarah Mikovski fait briller tel un soleil sur nos vies parfois glacées.
En nous offrant son Pôle Nord, Sarah Mikovski, aimante et magnétique, nous fait fondre de sa voix et de ses mélodies limpides.
Date Début | Titre | Lieu | Ville | Code Postal | Billeterie |
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